During the Restoration, the classiques tended to label anything that didn’t conform to their rules and conventions as romantique, this included fantastic literature and the frénétique. And how did the classiques define romantique? According to the sixth edition of the Dictionnaire de l’Académie française…
ROMANTIQUE se dit encore De certains écrivains qui affectent de s’affranchir des règles de composition et de style établies par l’exemple des auteurs classiques. Il se dit également Des ouvrages de ces écrivains. Auteur, écrivain, poëte romantique. L’école romantique. Poésie romantique. Style romantique. Poëme romantique.
The sixth edition of the Dictionnaire was published 1832-1835, but this entry was put together around the same time Louis-Simon Auger pronounced his Discours sur le romantisme at the Académie française. Auger’s Discours is replete with slights against the romantiques. The following is one of the most cutting jabs because he uses the charge of imitation, one routinely leveled by the romantiques against the classiques, against the romantiques.
…ce que j’appellerai le Romantisme français ou plutôt gaulois ; romantisme bâtard, qui n’a ni la même énergie, ni la même audace, ni les mêmes excuses que le romantisme teutonique.
It’s the 19th-century literary debate equivalent of “I know you are, but what am I?” Insults flew through the pages of newspapers and literary magazines, launched from romantiques and classiques alike. For now, I’ll end with one of my favorite mudslinging “definitions” of romantique, written by a classique.
C’est, il me semble, l’indépendance de toutes les règles et autorités consacrées; c’est tantôt l’imitation exacte d’une nature brute et sans choix, tantôt l’expression recherchée d’une nature fantastique; c’est l’alliance de l’ignoble et du maniéré, du bouffon et de l’ampoulé. En un mot, c’est l’absence du goût.
“De l’Influence de la Révolution sur la littérature, et du style romantique.” Annales de la littérature et des arts. Vol. XX, 1825.